Claude Cailleau et les amis de la rue Ventura

Oui, c’est bien toujours Jean-Marie Alfroy, écrivain (1942 – 2022) Dans son courrier (j’ai tout gardé tant j’admirais son écriture, et il excellait dans l’essai), je trouve un texte que j’avais retenu mais ne pouvais pas publier : il terminait son propos...

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Bonjour, amis du blog. Je pense qu’aujourd’hui vous êtes en vacances, sur une plage de notre France, où il fait encore bon vivre. Ou dans un village de montagne. Ce soir, en rentrant vous pourrez vous évader un moment pour ce retour en arrière, cette...

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Sur la photo, c’est bien moi. Mais une étrange rencontre, un jour, dans le parc de la Maison de poésie des Hauts de France, à Beuvry. Voici le Journal, encore une tentative pour défier le temps… Le 27 – « Balaie d’abord devant ta porte ! » À lancer aux...

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Je reprends le Carnet noir. Difficile, avec Cadou, d’assurer un suivi. Je crois avoir terminé « Le Carnet noir – 1 » en parlant de Reverdy et en annonçant Louisfert… Puis-je vous conseiller de relire ma présentation de la biographie de Cadou, j’en étais...

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Préparant un essai sur l’homme et l’écrivain, je me suis replongé dans les écrits de Jean-Marie. Je dois convenir que, jusqu’en 2016, il avait pour moi, non avoué, un profond sentiment d’amitié. Ce qui ne l’empêchait pas de porter sur mes textes un jugement...

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Mille tendresses à vous tous Que je ne connaîtrai jamais ! Et je peux bien mourir en douce Nul de vous n’en aura regret. (René Guy Cadou) Bonjour. Après relecture, puis-je vous demander de m’excuser ? Je vois bien que le texte qui suit n’est pas dans...

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(Sur la photo, Jean-Marie est à droite ; les amis m’auront reconnu à gauche) Bonjour, Amis de ce blog. L’âge, et ma santé qui m’importune ces derniers temps, ont fait que mon blog est devenu muet. Mon travail n’avance pas comme je le voudrais. Impardonnable...

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« De La porte étroite à Et nunc manet in te » Je soupçonne Georges Jean, tout juste sorti de Normale Sup et profondément marqué par ses lectures, d’avoir eu un penchant pour les littératures dérangeantes. Aussi d’avoir pris plaisir à épater ses élèves....

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(Dans les pas d’un grand écrivain) Fiction ou réalité ? Quand la vie devient livre, surgit aussitôt le doute. L’auteur a-t-il voulu se condamner ou se dédouaner de ses actes ? Oublions, voulez-vous, l’hypocrisie du confessionnal. Je vous propose aujourd’hui...

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Ah, Colette !... que de soirées paisibles et passionnées j’ai passées en sa compagnie ! Je veux dire avec ses livres. Et c’est encore à Georges Jean, mon illustre prof de rhétorique – illustre, oui : interrogez le Net - que je dois ce bonheur. Venant...

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